A l’occasion de la sortie de son nouveau film, « Le pharaon, le sauvage et la princesse », Michel Ocelot, figure internationale incontournable du cinéma d’animation, nous parle de ses débuts difficiles, de l’influence de « Kirikou » dans l’essor du cinéma d’animation en France, de sa popularité : il se réjouit d’avoir « élevé pas mal d’enfants français ». Et confie avoir beaucoup aimé « Josep » du montpelliérain Aurel.
Entretien : Adrien Reyne
Réalisation / Mixage /Montage : Adrien Reyne et Cristobal Desconnets